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Daniel Schlier est né en 1960 à Dannemarie, dans le Haut-Rhin, plus précisément dans le Sundgau, à la frontière suisse. Proche de Bâle et de son extraordinaire Kunstmuseum, mais aussi de Colmar où, au Musée Unterlinden, est conservé le Retable d’Issenheim, commandé par les moines antonins au début du XVIe siècle à Mathis Nithart, dit Matthias Grünewald. Peintre lui-même, enseignant à l’Ecole des beaux-arts de Paris, Daniel Schlier dit l’importance que ce monument de l’histoire de l’art revêt pour lui.

A Paris, le Musée Maillol réunit des œuvres de FleuryJoseph Crépin, Augustin Lesage et Victor Simon, marquées par le spiritisme.

De sa longue fenêtre en bandeau orientée au nord, elle peut suivre la ligne de crête des petites montagnes à l’horizon et dominer une partie de la ville de Bâle, où poussent des grues et de nouvelles constructions.

Roven, éditeur de la revue du même nom, publie aussi des ouvrages sur le dessin contemporain, comme cette première monographie consacrée au travail d’Alexandre Leger.

Personnage et icône de la scène punke française depuis les années 1980, Nina Childress fédère par son énergie, son aura et ses hits de peinture. Cette présence prolixe et généreuse, on la découvre grâce à une rétrospective bienvenue.

Cette artiste installée à Paris et enseignante aux Beaux-Arts explore délibérément tous les styles de peinture, échappant ainsi à toute tentative de classement. Une œuvre polymorphe qui interroge, en filigrane, la construction de l’identité artistique.
AOC22 février 2020Entretien avec Nina ChildressNina Childress : « Il faut que la peinture soit plus intéressante que la photo »

La fondation d’entreprise Ricard, à Paris, accueille une exposition de Nina Childress qu’Eric Troncy, son commissaire a choisi d’orienter vers le portrait et le versant “bad” de sa peinture

A la Biennale de Lyon, l’art prend le pouls inquiet du monde

Ce grand sculpteur autrichien représenta son pays à la Biennale de Venise et enseigna sa discipline à de nombreux artistes. Gigantesques, ses œuvres composées d’une accumulation d’éléments insolites semblent sorties de films de science-fiction et suscitent des réactions tranchées : la répulsion autant que la fascination.

Après un long silence abstrait, les peintres contemporains reprennent la parole et le fil de la narration dans des œuvres volontiers merveilleuses, mais jamais en rupture radicale avec le réel ou les maîtres du passé. Galerie de portraits.

La Foire internationale d’art contemporain ouvre, le 18 octobre, à Paris et met les marchands sous pression.

Avec une constellation d’expos sur le thème «Fracas et Frêles Bruits», la nouvelle édition du festival le Printemps de septembre explore les conflits et les tensions du monde, alternant le grave et l’irrévérencieux.

Peut-on envisager la peinture comme un organisme vivant ? C’est un peu le fil que tend l’artiste sud-africaine Ina Van Zyl, installée à Amsterdam depuis plusieurs année, avec sa première exposition à la galerie Bernard Jordan.

La meilleure d’entre tous (et toutes) : Nina Childress, qui fit ses armes (et les 400 coups) à l’époque de la Figuration libre, peint aujourd’hui des groupes de filles avec une palette vive qui électrise les silhouettes, les idées reçues et les situations compliquées.

A Paris, l’artiste Américaine Nina Childress expose ses corps féminins maladroits et sensuels, à contre-courant des fantasmes masculins.

Du rat démesuré de Bertrand Gadenne en passant par la reproduction de Guernica de Picasso en un immense paysage de sable par le taiwanais Lee Mingwei, l’exposition s’annonce spectaculaire.

“Dans mon atelier, je fais ce que je veux”, nous confie l’artiste issue de la scène punk alternative parisienne, lorsqu’elle évoque son espace de création.
Art Press15 janvier 2016Nina Childress / peindre, dit-ellePrésentée comme la “réunion réjouissante et non exhaustive d’artistes confirmées et émergentes”, cette exposition, conjointement organisée par Annabelle Ténèze et Julie Crenn, rassemblait dix-neuf femmes peintres.

Quoi de plus spectaculaire et impressionnant que la monumentale terre cuite émaillée d’Elmar Trenkwalder installée dans l’Hôtel de Manville qui a ouvert la 3ème édition “Septembre de la Céramique et du Verre” ?

Le Frac d’Alsace vient d’inaugurer WVZ 284, oeuvre qu’il a commandée à l’artiste autrichien Elmar Trenkwalder. Un portail en céramique pour son jardin, une pièce monumentale qui s’est révélée un défi et une performance technique. Retour dans l’atelier de l’artiste, quelques mois avant l’inauguration.

Bien peint/Mal peint de Christophe Cuzin, datée de 2000, alterne tout au long du couloir, différents murs peints chacun d’une couleur différente (vert, gris, orange, rouge…) tantôt impeccablement réalisés, tantôt volontairement mal faits, badigeonnage, coulures, débordements comme l’indique son titre.

Les oeuvres de grande taille d’artistes d’aujourd’hui tels Elsa Sahal, Stéphane Thidet et Elmar Trenkwalder s’y trouvent autant à leur aise que celles, de dimensions plus réduites, d’Adolf Wolfli, Scottie Wilson ou Fleury Joseph Crépin, figures majeures de cet art dit autrefois “des fous”.

Like Colonne de Rameaux, Monument aux fusillés de la Nivelle is at once reticent, highly suggestive, hieratic and open-ended in its allusions. These terms could be applied to most of barrés’s work since the early 1980s, when he abandoned a promising practice as an architect and began to concentrate on sculpture